Nous sommes en voiture, il pleut à gros bouillon. Santiago : « la voiture pleure ! »
Un autre jour, la grêle tambourine sur la carrosserie : « une pluie de caramels ! »
Nous sommes en voiture, il pleut à gros bouillon. Santiago : « la voiture pleure ! »
Un autre jour, la grêle tambourine sur la carrosserie : « une pluie de caramels ! »
Il fut un temps où les téléphones n’étaient pas intelligents mais portables. C’était quand même rudement pratique.
Si vous n’en pensez rien, parlez-en. Vous aurez l’air moins con.
Blood and guts ! Encore un glissement spatio-temporel !
Je déteste mon voisin – sentiment tout à fait légitime fondé sur une analyse rationnelle dont les conclusions reposent sur un protocole expérimental rigoureux ayant mis en évidence chez le sujet un taux de nuisance effective pouvant atteindre jusqu’à huit fois le taux de nuisance normal de l’abruti moyen – mais son fils, Jean-Kévin, doit-il en subir les conséquences ?
Certes non.
Et puisqu’il fêtera demain ses 3 ans, je lui offrirai un sifflet et un tambour.
Je suis végétarien par procuration.
Je confie à la vache, mieux armée que moi pour ces tâches, le soin de brouter, ruminer, digérer et assimiler une succulente herbe verte, naturellement riche en fibres et en oligo-éléments.
Puis, beauté de la chaîne alimentaire, je déguste la vache pour jouir à mon tour des bienfaits de cette succulente herbe verte, en veillant à l’accompagner exclusivement d’aliments d’origine végétale, tels que des pommes de terre frites, de la moutarde et du jus de raisin fermenté vieilli en fût de chêne.
Évidemment, à force de tourner autour du pot, il a fait caca dans sa culotte.
Nous étions trois amis mais, par un triste sort, il n’y avait pas de vin.
Après l’entrée de crudités, on nous servit des côtelettes.
Bref, nous étions 320 en arrivant au porc.
La paix ne sera possible sur cette planète que le jour où chacun respectera la culture d’autrui, à commencer par les jours fériés.
Je donne l’exemple, et, en ce 19 mai, férié au Turkménistan, ce blog s’impose le silence.
or il ne suffit pas de faire revenir le vers à la ligne
il faut également s’assurer qu’il soit
1) frétillant
et 2) bien accroché à l’hameçon
ensuite, prendre une bonne inspiration,
et, avec un peu de chance,
la poésie mord