Que fait-on en politique ? Principalement, on se fait des ennemis et des complices.
Que fait-on en politique ? Principalement, on se fait des ennemis et des complices.
T’inquiète pas, va. Ça ira mieux demain. De toute façon, c’était mieux avant.
Mignonne, allons voir si la rose, et vite encore ! Avant que ce soit mieux avant.
Toi qui jouis aujourd’hui, jure de jouir plus demain, et plus encore après-demain, et toujours plus, et ainsi de suite. Jusqu’à ce que c’était mieux avant.
Toi qui t’avances jeune dans la vie, avide de nouveauté, hâtant ton pas vers la révolution, impatient d’en finir avec le passé, supportant à peine le présent… Ah ! Jeune ! Prends le temps d’éviter l’autoroute qui mène à c’était mieux avant.
Née du malheur, la foi est trouble et s’apparente à l’espérance, sorte de perdition.
Née du bonheur – ténu, fugace ou fragile soit-il – la foi est limpide et ne promet rien.
« Si on opte pour une coiffure XXL, on évite les accessoires, le volume de la chevelure suffira. En revanche, si on adopte une coiffure plus sage, on peut se laisser aller à un peu de fantaisie ! »
Tout ce qui me fait vomir dans le concept de société tient dans ce point d’exclamation.
La montre égrène les secondes, les minutes, les heures…
Le temps égrène les montres.
Ce qui est convoité vaut, et non l’inverse.
Et le jour où j’ai eu besoin d’argent, j’ai pu constater que sa générosité légendaire était bel et bien une légende.