« La NASA pense être en mesure d’envoyer des humains sur Mars dès 2030. »
J’espère qu’il y a de la place, sur Mars, parce que j’ai déjà une liste assez longue de personnes à envoyer là-bas.
« La NASA pense être en mesure d’envoyer des humains sur Mars dès 2030. »
J’espère qu’il y a de la place, sur Mars, parce que j’ai déjà une liste assez longue de personnes à envoyer là-bas.
Merveilleuse application sur mon smartphone qui, non seulement me guide vers ma destination, mais m’indique, de sa douce voix numérisée, l’itinéraire le plus court en fonction du trafic-en-temps-réel !
Sans cela, jamais je ne me serais aventuré à tourner à droite dans cette rue inconnue de moi. Je serais resté bien sagement sur la grande avenue. Mais l’application a détecté un embouteillage un peu plus loin sur la dite avenue. Me voilà donc dans cette petite rue si longtemps ignorée ; ou plutôt nous voilà. Je veux dire, moi et les douze automobilistes qui se sont engouffrés en même temps que moi dans cette minuscule ruelle décidément très étroite et très mal pavée.
Heureusement, notre application a aussitôt détecté le bouchon par nous engendré. Et voilà qu’elle nous ordonne de tourner à gauche car il ne lui a pas échappé qu’un allègement inespéré du trafic s’est produit sur cette avenue que nous n’aurions jamais dû quitter.
Quand on compare le nombre de Nazis condamnés pour crimes contre l’Humanité et le nombre de leurs victimes (des millions tout de même), la disproportion est telle qu’on ne peut s’empêcher de penser que ces criminels étaient dotés d’une puissance surhumaine.
Ou alors ils ont été aidés.
Le retour (come back) est un concept éculé, usé jusqu’à la corde diront certains ; et ils n’auront pas tort.
Cela dit, si Sarkozy l’a fait, pourquoi pas moi ?
Qui plus est, dans l’allégresse. (Qui mieux qu’un homme de bureau goûte la saveur particulière du vendredi ? )