Il a derrière lui une belle carrière de bouffe-curé mais, décidément, « ça ne nourrit plus son homme ». Il faut penser à l’avenir.
Alors il hésite entre l’antisémitisme et l’islamophobie, des valeurs sûres dit-on. Il n’a toutefois pas encore écarté la possibilité de s’investir dans la judéophobie ou l’anti-islamisme, secteurs négligés qui offriraient de bons débouchés paraît-il.
Il se tâte.
Pas facile de se reconvertir.