« Il faut de tout pour faire un monde. »
Non seulement on cite souvent cette phase hors de son contexte et sans préciser qu’elle est de Yahvé (car c’est bien lui l’auteur de cette affirmation où perce la mauvaise foi typique de celui qui cherche à fuir ses responsabilités, à moins que ce soit une manière, maladroite, de s’excuser), bref, non seulement on cite à tort et à travers mais en plus on cite mal.
Car la phrase exacte prononcée par Yahvé au terme du cinquième jour est : « Il faut de tout et n’importe quoi pour faire un monde ».
Et il a ajouté : « Tiens, je vais en remettre une couche, de n’importe quoi, en cas que ça viendrait à manquer. »