Si on les laissait faire, les enfants riraient de tout et n’auraient peur de rien.
Heureusement, les adultes veillent.
Si on les laissait faire, les enfants riraient de tout et n’auraient peur de rien.
Heureusement, les adultes veillent.
non seulement le type désacralisait l’art
mais il continuait à en faire (de l’art)
il croyait peut-être s’en tirer indemne
naïf
on le sacralisa !
car l’Un n’est que l’une
des multiples manifestations du Tout ou
carlin est bien l’un des nombreux toutous
Aujourd’hui, ma réflexion portera sur l’escargot.
(…)
(…)
Attendez peu de fulgurances.
Il a derrière lui une belle carrière de bouffe-curé mais, décidément, « ça ne nourrit plus son homme ». Il faut penser à l’avenir.
Alors il hésite entre l’antisémitisme et l’islamophobie, des valeurs sûres dit-on. Il n’a toutefois pas encore écarté la possibilité de s’investir dans la judéophobie ou l’anti-islamisme, secteurs négligés qui offriraient de bons débouchés paraît-il.
Il se tâte.
Pas facile de se reconvertir.
Aucune grille de lecture ne peut rendre compte du monde.
Grille de lecture… Comme s’il s’agissait de lire… À une grille, on s’accroche. C’est tout.
Le matin appartient à ceux qui se lèvent tôt.
Le soir à ceux qui se couchent tard.
Et le midi c’est la foire d’empoigne.
Impossible de lire un article au sujet d’une exposition artistique sans que l’auteur dudit article mentionne le nombre d’œuvres exposées ainsi que le nombre d’étages et le nombre de mètre carrés sur lesquels prend place l’exposition. Et comme si cela ne suffisait pas, on nous informera bientôt du nombre de personnes venues visiter l’exposition.
Bref, encore et toujours une affaire de comptables.
Or, non seulement Marie était vierge, mais aussi et surtout, elle lavait et repassait le linge, raccommodait les chaussettes (les hivers sont rudes en Galilée), faisait le ménage et les courses, préparait à manger, et emmenait les enfants à la synagogue et aux cours de natation. Et, à l’occasion, elle donnait un coup de main à la menuiserie. Sainte femme.
Le sommelier avisé saura ouvrir la bouteille au meilleur moment, c’est-à-dire quand le vin est arrivé au point idéal de maturation. Il suffit pour cela de compter les années.
À l’inverse, il ne suffit pas au lecteur averti de laisser vieillir ses livres sur des rayonnages en bois de chêne. Car ce n’est pas le livre qui doit mûrir avant d’être ouvert, c’est le lecteur.