Il est parfaitement naturel que les lèche-culs soient mauvaises langues.
Auteur : Mateo
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« Cher(s) parent(s),
Dans le cadre des activités de la Semaine des Saveurs, du 17 au 21 novembre, nous aurons besoin de l’aide de deux papas volontaires pour participer à l’activité phare de cette semaine : la journée restaurant !
Durant cette activité qui aura lieu dans les cuisines de la cantine le jeudi 20 novembre, de 9h30 à 11h00, les élèves apprendront à cuisiner « comme dans un restaurant ». Le chef Gérard (du restaurant Les bons amis) viendra à l’école pour nous apprendre à préparer une dinde aux marrons ! Le chef montrera aux enfants comment tuer, plumer et vider le dindon Popol (qu’ils nourrissent depuis septembre) et comment le farcir. Il a promis de nous révéler le secret de sa recette spéciale de la farce à dinde.
Nous aurons donc besoin de l’aide de deux papas pour tenir le dindon Popol.
Nous vous rappelons que cette activité s’inscrit dans le cadre du projet pédagogique de lutte nationale contre l’obésité « Bien manger, bien vivre ».
Les papas volontaires peuvent confirmer leur présence en répondant à ce message. Merci d’avance.
Sophie Martin – Maîtresse de la Grande section
Maitresse.Sophie@gmail.com
PS : et n’oubliez pas que tous les parents sont invités à manger la dinde avec les enfants le vendredi 21 à 12h15. »
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« L’auteur de (insérer ici le titre du livre / blog / disque / film etc …) pose un regard (ici le genre de regard : amusé / attendri / neuf / critique / sans concession / iconoclaste…) sur le monde. »
L’auteur pose un regard sur le monde. C’est bien aimable de sa part.
Attendrait-il en retour que le monde pose son regard sur lui ?
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Il y a dans la rue
des inconnues qui sont belles de dos
chevelure chute de reins démarche
tout invite à la levrette
On caresse l’idée l’idée seulement
en rêvant au délice doux supplice
on évite de marcher trop vite
on se dit
belle de dos belle éternellement
Et puis on oublie
en écrivant
au bureau
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Parmi les mille et une erreurs d’appréciation que l’on fait à l’heure de juger son propre parcours, il en est une qui consiste à penser qu’on est allé loin quand on a simplement perdu de vue son point de départ.
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La Direction des statistiques de la Cour des Comptes a calculé que si chaque chômeur donnait un euro, le budget ainsi dégagé permettrait d’acheter une couverture et une paire de chaussures à tous les SDF du pays.
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Tapi sous le tapis le vieux tapir
Espérait bien échapper au vampire
Qui rôdait dans l’immense et noir manoir
À la recherche de sang frais à boire
Comme cachette on n’a jamais vu pire
Dit le vampire en éclatant de rire
Pauvre tapir tapi sous le tapis
Persan mon regard est perçant tant pis
Pour toi je vais te vider de ton sang
Bien frais bien chaud et très bientôt giclant
Halte-là tu te trompes mon ami
Je suis vieux et mon sang caillé aigri
Je ne me cache pas sous le tapis
J’aspire de ma trompe croûte et mie
De pain cachées là par la jeune femme
Préposée au ménage tâche infâme
Pour une demoiselle si jolie
Et prompte au lit à faire des folies
Vieux dégoûtant ta trompe se raidit
Vicieux suppôt du démon de midi
Pour un vieillard je te trouve bien vert
Et peu s’en faut que je dise pervers
Mais c’est d’accord j’irai voir la coquine
Pas pour son cul pour son hémoglobine
En attendant viens je t’invite un verre
Au cabaret en bas de la montagne
Sait-tu qu’on y sert un très bon champagne
Et qu’on y voit en hiver un pivert
Un singe et même une fée bien foutue
Furtive aux seins nus vêtue d’un tutu
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L’enfant progressait vite dans cet apprentissage délicat. Déjà, il s’asseyait sur son pot dès qu’il en sentait le besoin.
C’était une première étape.
Bientôt il apprendrait à baisser son pantalon.
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C’était un soir d’hiver
Au pied de la montagne
Un singe et un pivert
Dépensaient leur épargne
Au cabaret
Quand soudain apparut
Une fée affolée
Elle était décoiffée
Et portait un tutu
Au cabaret
Puis elle disparut
Plus vite qu’un éclair
Comme elle était venue
Sans même prendre un verre
Au cabaret
Elle était bien foutue
Commenta le pivert
Elle avait les seins nus
Soupira son compère
Au cabaret
Il se passe des choses
Un singe pensez-vous
Et un pivert aussi
Une fée aux seins nus
Tout ça un soir d’hiver
Quelque part
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Il restait bien quelques curés de campagne mais leur chair était coriace et ils dégageaient une odeur très forte. Même affamés, les bouffe-curés s’en détournaient et préféraient se rabattre sur les Témoins de Jéhovah, proies faciles. Mais, pauvre en protéines, ce régime ne convenait pas aux mâles en âge de se reproduire et menaçait l’espèce de dégénérescence.
Les associations de protection de l’environnement organisèrent alors des lâchers de curés sud-américains. Riche en cocaïne, cette nourriture donnait un surcroît d’énergie aux bouffe-curés à l’approche de la période de rut. On espérait ainsi favoriser l’appariement et la copulation avec les bouffe-nones.
On peinait cependant à trouver des enfants de chœur pour nourrir les bouffe-curetons.