Nos chairs ne pourriront qu’après la mort
Mais l’odeur l’odeur viendra d’abord
Il était berrichon elle était limousine
Il aimait ses nichons elle adorait sa pine
Puis les vers glissant en escouades sur nos corps
Des vers à l’intérieur grouillant bientôt
Elle le suçait divinement
Il la léchait avidement
Les vers et très vite les larves
Elle jouissait à cheval sur lui lui en elle
C’était sauvage et naturel
La vie des vers la vie des larves
La vie ! La vie ! La vie !