Les témoins de la scène sont formels : le jeune homme était plongé dans son livre.
Eh bien, non seulement il ne s’est pas noyé mais il en est ressorti complètement sec.
Les témoins de la scène sont formels : le jeune homme était plongé dans son livre.
Eh bien, non seulement il ne s’est pas noyé mais il en est ressorti complètement sec.
Sauver la planète, je veux bien, mais pour quoi faire ?
Pour faire ce qu’on ne fait pas ? Ce qu’on n’a jamais fait ? Qu’on ne fera jamais ?
Ou plutôt pour faire ce qu’on ne cesse de faire… « Baisse la tête, sauve la planète, et obéis. Tu iras au paradis. »
Le chef de file et le chef de gare vivent tous deux d’agiter un drapeau.
Dans son infinie bonté, Dieu a pourvu l’Homme d’une intelligence suffisamment performante pour éprouver la bêtise de son prochain.
Je ne va pas de soi.
Ce qu’on appelle la raison n’est bien souvent qu’un maigre filet d’eau de source circulant péniblement parmi d’énormes rochers de préjugés ; sous le soleil de plomb de la nécessité.
Tout ce que l’être humain brandit devient ipso facto ridicule et dangereux.
Il tolérait plutôt bien les grands-parents de ses enfants.
Le problème est qu’ils étaient accompagnés en permanence de ses insupportables parents.
À peine avait-il terminé de s’essuyer les mains que son porte-parole lui demanda ce qu’il devait dire au peuple au sujet de la crucifixion de ce Juif prénommé Jésus.
Ponce Pilate, passablement agacé, lui répondit : « Tu diras à ces cloches qu’on ne fait pas d’omelette sans casser des œufs. »
D’où la tradition.
Je consulte les statistiques et constate que ce blog n’a jamais eu autant de visites qu’hier.
C’est-à-dire le jour où j’ai le moins écrit.
Il y a probablement une leçon de sagesse à en tirer mais je ne vois pas laquelle.